Scandale - L'artiste Ai Weiwei obtient 230 000 € au Danemark
Un concessionnaire Volkswagen a été contraint par la justice de verser 230 000 € à l'artiste chinois Ai Weiwei pour avoir utilisé une de ses œuvres à des fins publicitaires sans son autorisation.
En 2017, le concessionnaire avait publié dans son journal et sur sa page Internet une photo d'un nouveau modèle de Polo garé devant une installation d'Ai Weiwei à Copenhague. Le peintre, sculpteur et plasticien avait annoncé en mars porter plainte.
L'oeuvre en question s'intitulait Soleil Levant et était composée de 3500 gilets de sauvetage de migrants arrivés à Lesbos entre 2015 et 2016, déposés devant le musée de Charlottenborg. Pas grand chose à voir avec la promotion d'une voiture...Le concessionnaire a donc été condamné à payer 200 000 € pour utilisation frauduleuse et 30 000 € de dommages.
"La Petite fille au hula-hoop" avait fait son apparition à Nottingham en octobre dernier, pour le plus grand bonheur des habitants. Mais les propriétaires de l'immeuble ont décidé de la vendre à une galerie londonienne pour une somme inconnue.
Des millions de diplômes universitaires américains sont devenus l'œuvre d'art la plus chère jamais estimée. Exposée au Vanderbilt Hall de la gare de Grand Central de New York, l'installation dénonce le coût extrêmement élevé des études supérieures aux Etats-Unis.
En 2017, le scandale éclate ! La police italienne met la main sur un conteneur en provenance d’Alexandrie, rempli d’antiquités égyptiennes : poteries, sarcophage orné de bois, pièces d’or, masques de momies, figurines miniatures et diverses céramiques.
C’est la dégringolade ! Lors d’une exposition organisée à Mexico à l’occasion de la seizième édition de la Zona Maco, Alvelina Lésper détruit par accident une œuvre de Gabriel Rico, un artiste contemporain.
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