Scandale - Un voleur de tableau qui ne manque pas d'audace
Une scène complètement surréaliste s’est déroulée la semaine dernière dans un musée en Russie //
Un homme … culotté a tranquillement décroché un tableau de la galerie et l’a glissé sous son bras dans le plus grand des calmes sous les caméras de surveillance et sous le regard médusé des visiteurs. Il a même réussi à quitter le bâtiment sans encombre. Mais quelques heures plus tard, fort heureusement, la police est parvenue à retrouver le suspect … qui ne se souvient de rien.
Le tableau, a quant à lui été retrouvé sur un chantier, en parfait état (ouf !), surtout lorsque l’on sait qu’il est estimé à 175 000 euros ! Peint par Arkhip Kouïndji entre 1898 et 1908, ce tableau est l’un des fleurons de la peinture russe. Tout est bien qui finit bien, puisqu’il a repris sa place dans la galerie Tretiakov de Moscou qui abrite d’ailleurs l’une des plus riches collections de Russie, notamment le Carré sur fond blanc de Malevitch.
C’est une histoire hallucinante ! On en vient à se demander si les mesures de sécurité sont suffisantes dans les musées. On vous laisse avec la vidéo ...
Des millions de diplômes universitaires américains sont devenus l'œuvre d'art la plus chère jamais estimée. Exposée au Vanderbilt Hall de la gare de Grand Central de New York, l'installation dénonce le coût extrêmement élevé des études supérieures aux Etats-Unis.
Nouvelle polémique en Russie : un marchand d'art londonien a pointé du doigt une exposition du musée de l'Ermitage qui présenterait de nombreuses contre-façons du maître joaillier Fabergé, connu pour ses oeufs inestimables.
C'est une aventure rocambolesque ! Souvenez-vous, le 30 mars dernier, des voleurs se sont emparés d'un tableau de Van Gogh, Le Jardin du presbytère de Nuenen au printemps, abrité par le musée Singer Laren, près d'Amsterdam, alors fermé à cause de l'épidémie de coronavirus. Curieux rebondissement, un enquêteur, Arthur Brand a annoncé le 18 juin avoir reçu une preuve de vie de la peinture.
Le torchon brûle entre les Grecs et les Britanniques au sujet d'oeuvres historiques, les marbres du Parthénon, des fresques mythiques enlevées par Lord Elgin, ambassadeur britannique à la cour ottomane au début du XIXème siècle. Ces frises antiques sont aujourd'hui exposées au British Museum et la Grèce manifeste son désir de les récupérer depuis des années.
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